C'est moi qui l'ai fait !

Nouveauté : Podcast sur C'est moi qui l'ai fait !

Pour un avant-goût de la nouveauté, je vous invite à écouter ce qui suit :

Ma liste au Père Noel.

Ce n’est que lorsque Gabrielle et Noé ont eu l'âge de parler du père Noël et à être excités par cette période de fête que j’ai vraiment pris conscience que je n’étais plus une enfant mais une adulte et que c’était à mon tour de recréer cette magie, ce que mes parents faisaient à merveille. Mais, pendant quelques secondes, j’ai encore envie de faire partie de ceux qui croient au père Noël, en espérant qu’il soit connecté sur le web, quel que soit l’endroit où il se trouve en ce moment.

Cher Père Noël,

Je sais que vous devez être très occupé en ce moment avec toutes ces personnes déjà très organisées à l’approche de Noël. Ne soyez pas surpris si ma liste est essentiellement orientée livre de cuisine et ustensiles culinaires. Sachez que, si vous exhaussez mes souhaits, vous ferez une bonne action en m’aidant à devenir meilleure dans ma passion exercée jour après jour dans ma cuisine, avec les moyens du bord.

Es espérant vous apercevoir un jour pendant quelques secondes sachant que je vais laisser, comme tous les ans, un petit verre de sherry, un morceau de pomme et un bout de mince pie (fait maison) devant la cheminée selon la tradition britannique.

PS : Je ne serais pas non plus contre quelque chose de plus romantique, mais je laisse le soin à David de trouver une idée.

Ma liste au père Noël

Le livre "Chocolats et Petites Bouchées de Christophe", de Christophe Felder.

Parce que l’on n’a jamais assez de livres sur le chocolat et que j’aime beaucoup les livres de Christophe Felder.

Le livre "Les gâteaux de l’Avent" de Christophe Felder, pour perpétrer la tradition de ma famille alsacienne.

Un thermomètre à sonde pour pouvoir tempérer le chocolat comme l’explique si bien Pierre Hermé dans son Larousse du chocolat.

Un stage chez Valrhona car j’en rêve depuis que Mercotte nous en parle sur son blog.

Un moule à charnière pour démouler plus facilement les cheesecake.

Une bouteille (ou deux ?) de Condrieu car c’est un de mes vins préférés.

Le livre "100% Epices" de Katherine Khodorowsky et Gilles Choukroun, car il semble extraordinaire.

Le livre "Les Douceurs de Kenza" de Samira Fahim, pour ses photos et ses recettes très originales.

Le courage de me lancer dans les travaux à la maison.

Bon shopping de Noël!

Jarret de veau aux carottes, tomates et paprika doux.

Parfois, lorsque je vais chez mon boucher, j’achète en plus de ce qui est sur ma liste un morceau de viande que je n’ai jamais cuisiné auparavant. La semaine dernière, c’était du jarret de veau.

Je connais bien le jarret d’agneau que l’on appelle plutôt souris d’agneau mais pas celui de veau. Un jarret de veau pèse près de 2 kg avec l’os, ce qui est suffisant pour 4 personnes. C’est la partie du veau située juste au dessous de son « genou ».

C’est une viande qui aime les cuissons longues et douces et elle est beaucoup utilisée dans le tagine. J’ai tout d’abords voulu faire ce plat, mais je ne me voyais pas désosser la viande pour pouvoir la couper en morceaux. Il faudrait que je fasse un stage chez un boucher pour apprendre, il paraît que c’est incroyable.

Je me suis plutôt décidée pour un plat très simple, avec les ingrédients que j’avais dans ma cuisine et à manger en famille par un soir d’hiver.

La cuisson de ce plat est longue mais ne demande pas beaucoup de surveillance : j’ai même pu accompagner les enfants à leurs diverses activités du mercredi, en laissant la viande sagement dans le four.

Jarret de veau aux carottes, tomates et paprika doux

Pour cette recette, il vous faudra une cocotte, de préférence en fonte, que vous puissiez mettre dans votre four.

Vous devrez préchauffer votre four sur 230°C afin qu’il soit bien chaud lorsque vous mettez la cocotte dedans mais la cuisson se fait à 150°C.
Pour tout savoir sur les cocottes en fonte, je vous conseille d’aller lire le billet très intéressant de Laurence.

Ingrédients pour 4 personnes

1 jarret de veau (2 kg)
1 kg de carottes
1 oignon émincé
1 échalote émincée
2 gousses d’ail émincées
1 cuil. à soupe de paprika
1 boite de tomates concassées
1 cube de bouillon
Huile végétale

Préchauffez votre four à 230°C.
Epluchez les carottes puis coupez-les en bâtonnets.
Dans une cocotte en fonte, faites chauffer 2 cuil. à soupe d’huile puis faites-y revenir le jarret sur toutes ses faces, quelques minutes, afin qu’il soit doré.
Retirez-le de la cocotte et posez-le sur une assiette.
Retirez la graisse à l’aide d’un papier absorbant.
Ajoutez 2 cuil. à soupe d’huile et faites-y revenir l’oignon, l’échalote et l’ail pendant quelques minutes, sur feu doux.
Ajoutez le paprika et remuez bien.
Ajoutez les tomates et remuez à nouveau.
Remettez le jarret dans la cocotte, ajoutez le cube de bouillon, 1 cuil. à café rase de sel  et 2 cm d’eau.
Portez à ébullition, couvrez et éteignez le feu.
Mettez votre cocotte dans le four et baissez la température à 150°C.
Faites cuire pendant 2h30 au total, en retournant le jarret 2 fois.
Au bout d’une heure et demi, ajoutez les carottes.
A la fin de la cuisson, retirez le jarret et les carottes et faites réduire le jus sur feu moyen.
Pour ma part, je laisse 5 à 6 bâtonnets de carottes dans la cocotte et je mixe l’ensemble avec mon mixeur plongeur, ce qui donne une sauce onctueuse.
Remettez le jarret et les carottes et maintenez au chaud jusqu’au moment de servir.

Je l’ai servi avec du riz. Le lendemain, j’ai retiré la viande de l’os, je l’ai coupée en morceaux et mélangée avec le restant des carottes, la sauce et des pâtes, ce qui a donné un plat très réconfortant et énormément apprécié par Gabrielle et Noé.

Christmas Pudding, un an après.

L’année dernière, à la même époque, je me suis lancée dans la confection du fameux Christmas Pudding britannique que nous avons mangé le jour de Noël avec mes parents et toute ma belle famille. Ce fut un moment inoubliable.

Dans mon billet, j’avais parlé de cette tradition qui consiste à le préparer avant fin novembre pour le laisser au repos jusqu’au 25 décembre, mais je n’avais pas donné la recette que j’utilise pour la simple raison que je ne pensais pas que d’autres français allaient se lancer dans l’aventure.

Depuis 3 semaines, je reçois une quantité impressionnante de mails me demandant des informations et surtout la recette que j’utilise, et de préférence en français.

J’ai commencé par l’envoyer par mail puis je me suis enfin décidée à l’inclure dans le billet d’origine.

Il reste encore quelques jours jusqu’à fin novembre pour le réaliser, je vous invite à aller trouver la recette dans le billet Christmas Pudding.

Si vous avez le temps, lisez également les commentaires, certains contiennent des histoires très émouvantes.

N'hésitez pas à me contacter, je répondrai avec plaisir à vos questions.

Concours Spécial Chocolat sur Epicurien.

Si vous faites partie de ceux qui rêvent de posséder le nouveau livre de Pierre Hermé, PH10, en vous disant que le rêve est parfois cher, n’hésitez pas et lancez vous dans l’aventure organisée par Laurent, d’Epicurien.be. Vous avez en effet 3 chances de gagner ce livre.

Pour ma part, mes méninges ont déjà commencé à travailler et je sens que je vais rêver de desserts au chocolat dans les semaines qui suivent.

Tous les détails sont sur le blog Epicurien.be.

Merci à Laurent pour cette excellente idée, je cours m’inscrire.

Steaks au poivre vert à la David.

Lorsque David est arrivé en France, il y a presque 10 ans, il connaissait finalement très mal ce pays. Mais, pas de soucis, j’étais là pour l’accueillir, l’aider dans ses démarches administratives (nous avons ouvert une bouteille de champagne lorsqu’il a reçu sa première carte de sécurité sociale) et bien entendu, lui faire découvrir mon pays. Ce que je n’avais pas prévu, c’était de redécouvrir la France, à travers ses yeux. Cette expérience s’est avérée extrêmement intéressante.

Son émerveillement devant les marchés, sa boulimie des restaurants, le fait d’être reconnu dans la boulangerie près de chez nous, les cafés parisiens, le vin, les escargots de ma maman, etc. La seule chose qu’il n’a jamais aimé : faire les courses dans les supermarchés mais je soupçonne qu’il n’aimait pas le faire non plus en Grande-Bretagne.

Une des premières choses qu’il a adopté en France : le bœuf qu’il n’avait pas mangé depuis des années en Grande-Bretagne et on le comprend sans peine.  Ce fut une longue série de pavés de bœuf dans les restaurants puis il a pris l’habitude de les cuisiner à la maison en faisant par exemple du filet de bœuf au poivre vert, son grand classique aujourd’hui.

Cette recette est adaptée de celle du livre « Les meilleures recettes faciles » édité par Grund et cuisinée par David.

Filets de bœuf sauce au poivre vert

Pour 4 personnes

4 steaks coupés dans le filet

3 cuil. à soupe de poivre vert sec

25 g de beurre

20 cl de crème fraîche

Ecrasez le poivre vert en poudre.

Mettez la poudre sur les deux cotés des steaks en massant la viande pour bien appliquer la poudre sur toute la surface.

Faite fondre le beurre sur feu doux dans une grande poêle et faites revenir les steaks selon le degré de cuisson désiré.

Retirez les steaks de la poêle et maintenez-les au chaud.

Mettez la crème dans la poêle et remuez en grattant bien le fond de la poêle.

Ajoutez éventuellement quelques grains entiers de poivre pour la décoration.

Mettez les steaks sur les assiettes avec la sauce.

A servir avec des frites ou une poêlée de champignons

Velouté tonique de carottes, fenouil, orange et gingembre.

Mardi, en sortant de mon cours de gym que j’avais délaissé ces derniers temps, j’étais pleine d’énergie et j’ai subitement eu envie d’agrumes et de légumes. Je ne suis pas une grande sportive, mais j’aime ces séances de gym car cela me libère l’esprit et me permet naturellement de mieux équilibrer mon alimentation.

Sur le marché, mon sac s’est doucement rempli de pamplemousses, d’oranges, de carottes, de poires, et, cerise sur le gâteau, de fenouils que pourtant seules Gabrielle et moi aimons.

Ce jour là, j’ai savouré mon déjeuner préféré lorsque je suis seule : un bol de soupe, une tranche de pain et un morceau de fromage.

J’ai beaucoup aimé cette soupe que j’ai trouvée tonique et originale par le mélange des saveurs. Elle a également été adoptée par le reste de la famille le soir.

Exceptionnellement je ne mets pas la recette ci-dessous car au moment de la manger, je me suis souvenue du concours de soupes organisé par Liebig et j’ai vite envoyé ma recette avant de me poser mille questions qui m’empêchent en général de participer au moindre événement de ce genre.

Vous pouvez trouver ma recette sur le site Liebig. Si vous l’aimez, n’hésitez pas à voter pour, cela me fera très plaisir.

De votre coté, il vous reste encore 28 jours pour envoyer votre propre recette.

Excellent week-end à vous.

Rectificatif : malgré vos nombreux votes, merci mille fois, ma recette n'a pas été sélectionnée.

Je la rajoute donc ici.

Bonne soupe !

Velouté tonique de carottes, fenouil, orange et gingembre

1kg de carottes
2 bulbes de fenouil
le jus d’une orange et demi
2 petits oignons
2 gousses d’ail
1 cuiller à soupe de gingembre frais râpé
4 cuillers à soupe d’huile d’olive
1,5l d’eau
1 cube de bouillon de poule
10cl de lait de coco
Sel et poivre du moulin

Pelez les carottes puis coupez-les en dés.

Retirez les extrémités des fenouils, coupez le reste en dés et gardez les pluches vertes pour décorer le velouté.

Emincez les oignons et l’ail.
Pelez et râpez le gingembre.

Dans une cocotte en fonte ou une sauteuse, faites chauffer 4. cuil. à soupe d’huile d’olive.

Faites revenir sur feu doux l’oignon, l’ail et le gingembre pendant 3 minutes.

Ajoutez les dés de carottes et de fenouil et mélangez bien.

Ajoutez l’eau et le cube de bouillon.

Portez à ébullition, couvrez et laissez mijoter jusqu’à ce que les légumes soient cuits, soit environ 40 minutes. Vous pouvez également utiliser votre cocotte minute, pour gagner du temps.

Mixez le velouté, ajoutez le jus d’orange et le lait de coco.

Goûtez et rectifiez l’assaisonnement en sel et poivre du moulin.

Faites chauffer sur feu doux puis servez avec les pluches vertes du fenouil.

Beaujolais nouveau 2005 : c'est aujourd'hui.

Aujourd’hui, c’est le jour du Beaujolais nouveau, pratiquement mon jour préféré dans l’année. J’aime cette effervescence dans les rues, les dégustations dans les caves à vin, voir les gens se dépêcher d’acheter une bouteille avant de rentrer chez eux. David et moi apprécions beaucoup le Beaujolais nouveau que nous buvons jusqu’à fin Novembre avec grand plaisir.

L’année dernière, sur les conseils de Patrick, j’avais acheté du Beaujolais nouveau du domaine des Tourniers que nous avions trouvé particulièrement bon. Hier soir, j’ai à nouveau contacté Patrick afin d’avoir son avis éclairé.

Voici sa sélection de Beaujolais 2006

Domaine des Tourniers

69220 Lancié

Tél : 04 74 04 12 67

Domaine Jean Foillard

Le clachet

60910 Villie Morgon

Tél : 04 74 04 24 97

Domaine du Vissoux

Martine & Pierre-Marie Chermette

Le Vissoux

69620 Saint-Vérand

Tél : 04 74 71 79 42

Jean-Paul Brun

Crière

69380 Charnay en Beaujolais

Tél : 04 78 47 93 45

Pour tout savoir sur le Beaujolais nouveau, n’hésitez pas à revenir sur mon billet de l’année précédente, écrit par Patrick.

Saviez vous que l’accord parfait avec le Beaujolais sont les spaghettis bolognaise ?

Vive le Beaujolais nouveau (à consommer avec modération, bien entendu) !

Crédit photo : Winepassion

Plat minute : Papillote de turbot à la pâte de tomates séchées et olives noires.

Depuis quelques années, je souffre un peu du manque de spontanéité des sorties en région parisienne. Nos familles, nos amis et nous-même avons des emplois du temps assez chargés (travail, enfants, etc.). Si nous voulons nous voir, c’est plutôt le week-end, et il faut souvent s’y prendre plusieurs semaines à l’avance.

J’aimerais tant pouvoir appeler des amis le matin en leur disant : « Si vous veniez dîner ce soir à la maison ? » C’est malheureusement à la limite de l’impossible : rentrer du travail, se mettre à l’aise, mettre mari et/ou femme et enfants dans la voiture, parfois subir les embouteillages, l’école le lendemain, toutes ces contraintes sont loin d’être des facteurs d’une soirée détendue.

Heureusement, de temps en temps,  nous recevons un coup de téléphone d’un ami ou d’un membre de la famille qui nous demande « Si on se voyait ce soir ? ». « Avec plaisir, viens à la maison » est en général ma réponse.

Il y a quelques jours, nous avons reçu un de mes cousins qui habite Bordeaux. Ayant passé toute la journée en dehors de la maison, j’avais besoin d’un plat qui puisse se préparer très rapidement, afin de pouvoir papoter avec lui.

Comme souvent, j’ai fait le choix du poisson en le cuisant en papillote car j’aime de plus en plus ce mode de cuisson.

Filets de turbot en papillote à la pâte de tomates séchées et olives noires

Pour 4 personnes

4 filets de turbot sans la peau
8 cuil. à café rases de pâte de tomates séchées
8 olives noires
Huile d’olive.
Sel et poivre du moulin
4 carrés de papier d’aluminium ou de papier sulfurisé
Préchauffez votre four à 180°C.
Huilez les 4 feuilles de papier.
Pour chaque papillote :
Déposez un filet de turbot.
Salez et poivrez.
Parsemez la surface de 2 cuil. à café rases de pâte de tomates séchées et de 2 olives coupées en morceaux.
Ajoutez un filet d’huile d’olive.
Refermez la papillote en laissant de l’espace.
Enfournez pour 8 à 10 minutes, selon la taille de vos filets.
A servir avec du riz par exemple.

Accord vin : nous avons bu un vin blanc très agréable : Cassis 2003, du Domaine La Ferme Blanche.

Crostini à la pâte de tomates séchées et aux sardines.

Ces derniers temps, plongés dans le travail, David et moi n’avons invité personne à la maison. Quelle tristesse ! Heureusement, le travail s’est un peu calmé, du moins de mon coté, et je peux à nouveau m’adonner à mon exercice préféré : fabriquer de quoi grignoter pour ne pas laisser mes invités et ma famille mourir de faim. Cette recette est un résultat de mon manque d’organisation ces derniers temps. Je voulais faire une tapenade, mais impossible de trouver des olives, ni dans ma cuisine ni dans mon garde-manger secret au sous-sol, celui dans lequel je suis la seule à pouvoir trouver ce que je cherche. Lorsque j’avais l’âge de Gabrielle, ma mère m’envoyait souvent acheter des choses qui lui manquait au moment de réaliser une recette. J’adorais cela car elle me laissait garder la monnaie et j’en profitais pour m’acheter des bonbons. Il m’est arrivé de faire la même chose avec Gabrielle, mais, ce soir là, il faisait vraiment un temps à ne pas envoyer un chat dehors, il fallait donc trouver une idée.

C’est ainsi qu’est née la pâte de tomates séchées puis de fil en aiguille le crostini pour l’accompagner et enfin la sardine parce que cela semblait être une bonne idée.

Je bénis le hasard du manque d’olive à la maison, cette pâte est très parfumée et peut servir à tartiner des morceaux de pain, à mettre dans une sauce tomate ou tout simplement dans des pâtes.

Je ne ferais pas l’affront de l’appeler pesto car je pense que les italiens pourraient être en colère contre moi.

Crostini à la pâte de tomates séchées et aux sardines

200 g de tomates mi-séchées

50 g de pignons de pin

6 cuil. à soupe d’huile d’olive.

1 gousse d’ail

½ cuil. à café de piment d’Espelette

10 petites tranches de pain coupées dans une baguette.

10 petites sardines à l’huile ou 5 sardines coupées en deux.

Mettez les tomates coupées en morceaux dans le bol de votre robot de type mixeur, avec les pignons de pin, la gousse d’ail émincée et le piment.

Actionnez le robot  en ajoutant l’huile d’olive petit à petit.

Remuez de temps en temps le mélange, puis actionnez à nouveau vote robot.

Le mélange doit être assez grossier.

Vous pouvez le conserver au frais au moins 1 semaine dans un bocal.

Grillez vos tranches de pain puis tartinez-les avec la pâte de tomates séchées.

Posez les sardines et servez.