C'est moi qui l'ai fait !

E=M6, mon grain de sel sur la salade.

OUF, c’est terminé !

Je me sens mieux car j’étais très fébrile avant le passage du reportage, sachant qu’une partie du tournage est supprimé lors du montage, et qu’il y a toujours un risque que ses propos soient déformés. J’ai donc trouvé le reportage sur les salades très fidèle par rapport à ce qui s’est passé pendant la journée de  tournage.

Grâce à la nutritionniste, j’ai également appris beaucoup de choses, comme par exemple que les vitamines sont plutôt dans la partie verte. Je vais donc être moins sévère avec les feuilles extérieures à l’avenir.

Incapable de mentir devant la caméra : c’est vrai que cette salade en sachet était de très bonne qualité. Cela ne m’empêchera pas de continuer à acheter mes salades sur le marché car je trouve important de voir, de toucher ce que l’on achète, et d’avoir un contact avec les commercants qui sont parfois également producteurs. Si je le pouvais, j’irais même acheter tous mes produits directement chez les producteurs.

Ce qui manque à mon avis dans ce reportage, c’est la question prix : une laitue coûte environ 90 centimes d’euros alors qu’un sachet coûte environ 2 euros 50.

Lavez une salade, même si vous la lavez deux fois et feuille par feuille comme je le fais prends environ 8 minutes, je vous laisse calculer le coût de vos minutes.

Pour finir, un immense merci pour tous vos commentaires mails, SMS et coup de téléphone extrêmement sympathiques, après l’émission E=M6.

J’ai trouvé cette aventure très existante !

Une histoire de salades sur E=M6.

"C'est moi qui l'ai fait !" est une grande aventure. Il y a quelques semaines j'ai été contactée par une réalisatrice qui avait lu mes différents billets sur les salades. Elle m'a proposée de participer à un reportage sur les salades pour l'émission E=M6. Je n’ai pu résister et je me suis retrouvée sur le marché de Nogent sur Marne, avec Noé et toute l’équipe chargée du reportage. Puis, ce fut le retour à la maison pour la suite. Une journée épuisante, étrange et passionnante. Prendre des photos est un jeu d’enfant à coté de la prise de vues.

Le résultat de cette aventure sera retransmis ce dimanche à 20h05 sur M6 dans le cadre de l’émission E=M6 spécial « les secrets de nos aliments quotidiens ». Je passerai sur le sujet « salades ».

Je suis très nerveuse car j’ai l’impression d’avoir pris un énorme risque en nous montrant ainsi Noé et moi devant la caméra. Vous risquez  également d’être surpris par le résultat, comme je l’ai été lors du tournage.

Désolée pour tout ce mystère mais ce serait malhonnête de tout dévoiler avant l’émission.

Noix de Saint-Jacques panées aux noisettes sur salade tiède de lentilles blondes à l’huile de noisette.

Il y a une dizaine de jours, je suis allée à Montpellier rendre visite à ma sœur Caroline, qui vient juste de s’installer là bas. J’en ai profité pour aller me balader sur le salon « Aux Origines du Goût » organisé par l’association Slow Food.

Imaginez un espace convivial rempli de passionnés venus des quatre coins du monde pour présenter leurs produits. Dégustations, explications, le tout avec patience et professionnalisme.  Impossible de décrire tout ce que j’ai vu, mais je garde un souvenir ému d’un vinaigre balsamique de 25 ans d’âge, un vrai caramel,  des lamelles crues de navets de Pardailhan, du sirop de thym des Sirops de Marco, des confits de poivrons, de l’huile d’Argan, des Pélardons, de confitures excellentes et bien plus encore.

J’ai acheté quelques produits dont des lentilles blondes de la Planèze (pays de Saint-Flour, Cantal). Ces lentilles font partie des légumineuses oubliées. En effet, leur culture s’est arrêtée dans les années 60 car jugée non rentable et ce n’est qu’à la fin des années 90 qu’elle est à nouveau cultivée, grâce à un regroupement de producteurs du Cantal. Elles bénéficient aujourd’hui d’un IGP (Indication géographique protégée). Le terme IGP est utilisé pour les produits dont la spécificité est liée à la fois à un terroir et à un savoir faire.

J’ai trouvé que ces lentilles ont un goût très fin avec un léger goût de noix. Elles cuisent relativement vite (25 minutes) et vous n’avez pas besoin de les faire tremper. Vous pouvez les consommer chaudes avec des saucisses, tièdes comme dans cette salade ou même froides.

Nous avons beaucoup aimé ce mélange terre et mer et je sais ce que je vais servir à mes parents la prochaine fois qu’ils viennent dîner.

Noix de Saint-Jacques panées aux noisettes sur salade tiède de lentilles blondes à l’huile de noisette

Pour 4 personnes en entrée

250 g de lentilles

6 noix de Saint-Jacques soit 3 demi noix par personne

4 cuil. à soupe de noisettes entières

Huile d’olive

Vinaigrette :

7 cuil. à soupe de d’huile de noisettes

2 cuil. à soupe de vinaigre de Xérès

2 cuil. à soupe d’échalotes finement émincées

Rincez les lentilles, mettez-les dans une casserole et recouvrez-les d’un litre et demi d’eau froide.

Portez à ébullition, baissez le feu et faites mijoter sur feu doux pendant environ 25 minutes. Les lentilles ne doivent pas être brusquées, l’eau doit bouillonner très légèrement. Ne salez surtout pas l’eau.

5 minutes après l’ébullition, humez votre cuisine, une délicieuse odeur va se dégager.

Pendant ce temps :

Mélangez les échalotes, l’huile et le vinaigre.

Lavez les Saint-Jacques, retirez le corail et coupez chaque noix en deux dans l’épaisseur. Salez et poivrez.

Concassez les noisettes dans le bol de votre robot de type mixeur jusqu’à l’obtention d’une chapelure grossière et mettez-la sur une grande assiette.

Badigeonnez les Saint-Jacques d’huile d’olive puis roulez-les dans la chapelure de noisettes.

Testez la cuisson de vos lentilles, elles doivent être tendres, mais pas trop.

Egouttez, ajoutez du sel, du poivre et la vinaigrette puis mélangez.

Goûtez et rectifiez éventuellement l’assaisonnement en sel et poivre.

Servez la salade de lentilles dans les assiettes.

Chauffez une poêle et faites revenir les Saint-Jacques 30 secondes de chaque coté.

Déposez-les sur la salade de lentilles et servez immédiatement.

Vous pouvez réaliser cette entrée en remplaçant les Saint-Jacques par du foie gras. Pour cela, suivez la recette de la salade de lentilles tièdes aux copeaux de foie gras que j’ai écrite pour arts culinaires.com.

Association des producteurs de lentilles blondes du pays de Saint-Flour

1, Rue Des Agials

15100 Saint-Flour

Tél : 04 71 60 50 09

Pépites de caramel, madeleines et autres histoires.

Il y a parfois dans les grandes surfaces des produits qui m'agacent. Je suppose qu'ils sont sensés nous faire gagner du temps et que des personnes réfléchissent longtemps avant de décider de les produire et de les mettre en vente. Le seul problème est que cette recherche du gain de temps est bien souvent aux dépens de la qualité. Ce qui me gène le plus est qu'ils peuvent nous faire oublier que certains gestes simples ne prennent tout de même pas des heures. Par exemple, prendre un morceau de parmesan dans la main gauche et un couteau économe de la main droite (et vice-versa pour les gauchers) pour former des copeaux de parmesan n'est ni compliqué, ni long et parfois moins que d'ouvrir certains emballages compliqués. Vous garderez également votre morceau de parmesan plus longtemps qu'une boîte de copeaux déjà faits, ce qui revient au bout du compte plus économique.

A d'autres moments, j'ai de bonnes surprises, comme lorsque j'ai remarqué ces pépites de caramel dans le rayon « aide à la pâtisserie ». En effet, faire du caramel puis le concasser ne se fait pas en deux minutes.

De retour à la maison avec mes pépites de caramel, je ne savais pas encore comment j'allais les utiliser.

Quelques jours plus tard, elles ont fini, pour leur plus grand bonheur, dans des madeleines au chocolat blanc. J'ai beaucoup aimé l'effet marbré apporté par les pépites de caramel après la cuisson et leur goût très agréable.

Vous trouverez la recette des madeleines au chocolat blanc et aux pépites de caramel dans le dossier madeleines que j'ai écrit pour le site Goosto.fr avec les recettes suivantes

Madeleines au miel de romarin

Madeleines au chocolat blanc et pépites de caramel

Madeleines salées aux tomates séchées et fromage de pecorino

Petites réflexions sur les machines à pain.

Le pain fait maison a toujours exercé une grande fascination sur moi. A 25 ans, dans ma toute petite cuisine, ma première expérience fut plutôt désastreuse et je n’ai jamais atteint l’étape de cuisson. Il est vrai que je manquais sérieusement de patience et que j’avais décidé de foncer tête baissée dans l’aventure. Lire plusieurs recettes, prendre conseil ? Pas le temps, je voulais faire du pain, un point c’est tout. Un peu découragée, je suis restée dans la fabrication de gâteaux, tartes et autres desserts. C’est bien plus tard, en lisant le premier livre de cuisine de Jamie Oliver, que j’ai découvert une recette de pain qui semblait si limpide, que j’ai retroussé mes manches et cette fois-ci avec succès. Je mentirais en disant que j’ai commencé à faire du pain  régulièrement. Disons plutôt que c’est quelque chose que je fais occasionnellement,  de préférence un dimanche après-midi d’hiver et sur un coup de tête.

Cet été, de passage chez Christine et Peter, des cousins de David, outre les délicieux plats préparés par Christine, j’ai découvert qu’elle fait son pain tous les jours, grâce à une machine à pain. Le pain était excellent. Depuis ce jour, j’ai rêvé de posséder la mienne. Par je ne sais quel miracle, des amis de longue date ont eu vent de ce rêve et m’ont offert une machine à pain pour mon anniversaire.

Le lendemain soir, malgré une certaine fatigue, j’ai dévoré le livre qui l’accompagne. La machine à pain n’est pas une boîte magique, elle suit simplement les étapes de fabrication manuelle, à savoir qu’elle mélange les ingrédients dans une cuve (le pétrin), pétrit la pâte, se met au repos afin de faire lever la pâte, puis cuit le pain, le tout, sans intervention manuelle. Vous pouvez également retirer la pâte une fois qu’elle a levé pour la façonner vous même en petits pains à faire cuire dans votre four. Elle dispose d’un distributeur de fruits secs pour réaliser des pains aux raisins secs, noix, noisettes, pignons ou pépites de chocolat.

Ne rêvez pas, vous n’aurez pas votre miche de pain en 5 minutes, le pain demande tout de même un minimum de temps et il vous faudra attendre en moyenne 3 heures pour croquer dedans. Est-ce cela qui le rend si bon ?

Après plus d’un mois d’utilisation, je suis très satisfaite de ma machine à pain. Ce que j’ai trouvé le plus difficile au départ est le dosage du sel car j’ai du mal à apprécier un pain trop salé ou un pain pas assez salé. Après avoir noté scrupuleusement les quantités, je n’ai plus de problème avec les recettes déjà testées. Le livre mériterait d’être plus agréable au niveau de la présentation, il comprend également quelques coquilles dues à la traduction mais j’imagine que c’est inévitable. Pour le moment, je n’ai fabriqué que des pains à partir des recettes du livre qui accompagne la machine mais je compte bien essayer d’autres recettes.

Je ne vais pas vous donner de conseils sur comment choisir votre machine à pain, il y a des forums très bien faits pour cela.

Les seules choses qui me viennent spontanément à l’esprit sont

Faites au moins du pain une ou deux fois vous-même afin de bien comprendre les étapes de fabrication. 

Ayez toujours votre machine à proximité sinon, vous risquez de ne jamais l’utiliser, surtout s’il vous faut descendre à la cave, pousser des livres, grimper sur un escabeau pour l’atteindre. Cette règle est valable d’ailleurs pour tous les ustensiles de cuisine.

Commencez par suivre les recettes de votre livre, afin de bien maîtriser votre modèle de machine puis foncez avec d’autres recettes.

Vous trouverez énormément d’informations sur Internet, quant à l’utilisation des machines à pain, comme par exemple

Sur le forum Supertoinette avec en particulier les « post it « très utiles

Sur le forum PatePaton

Beaucoup de recettes chez Anne du blog Papilles et Pupilles

ainsi qu'un billet très complet sur Comment faire son pain maison ?

Un avis sur deux livres de recettes de pain chez Manue du blog La Popotte de Manue

Larousse du Chocolat de Pierre Hermé.

Hier matin, j'ai fait une folie !

Dans ma librairie habituelle, le journal coincé sous le bras, je me suis mise en tête de feuilleter le nouveau Larousse du Chocolat de Pierre Hermé. Je savais au moment de poser ma main dessus que c'était risqué. Très raisonnable, j'ai refermé le livre, acheté mon journal puis je suis sortie. Malheureusement, à peine 10 minutes plus tard, j'étais de retour dans la librairie et je l'ai acheté. Bon me suis-je dis, tu n'achètes pas si souvent de livre de cuisine et qui peut résister à celui là ? J'aurais pu (du ?) attendre Noël mais c'est bon parfois de se sentir coupable.

Ce que j'ai aimé dans ce livre à ma première lecture

Les explications claires et précises sur les différents crus de chocolat, sur la notion de terroirs et d'arômes. Vous trouverez même des trucs et astuces pour déguster les différents crus de chocolat. Voilà une bonne idée de soirée entre fous de chocolat !

Les infos sur comment lire l'emballage d'une tablette et les règles légales régissant la fabrication du chocolat. Tout est clairement expliqué, ce n'est pas pour rien que le livre s'appelle « Larousse ».

Les accords chocolat et épices, chocolat et fruits, chocolat et thé, etc.

Les chapitres organisés en deux parties. Par exemple : les gâteaux tout simples et les gâteaux pour impressionner.

Le chapitre sur le travail du chocolat afin de réaliser des décors : très clairement expliqué et il spécifie bien qu'il faut un thermomètre à sonde, ce qui a le mérite d'être honnête.

Le chapitre sur les plats salés à base de chocolat qui offre des recettes très variées et extrêmement originales.

Certaines recettes inédites proposées par d'autres pâtissiers, chocolatiers ou grands chefs.

Les recettes qui me font rêver

Tarte au chocolat, aux framboises et au vinaigre balsamique

Crème brûlée à la pistache et nougatine aux éclats de cacao

Confiture de banane au chocolat et à la cannelle (recette de Christine Ferber)

Foie gras de canard en croûte de grué de cacao et jus de chocolat (recette d'Hélène Darroze)

Poulet au chocolat (recette de François Simon, critique gastronomique)

Ce que j'aurais aimé

Plus d'informations sur les accords chocolat et vin (nos différents spécialistes ont une réelle influence sur mes exigences)

Une description courte avant chaque recette, en particulier pour les desserts ou les plats d'autres pays ou les desserts ou gâteaux pas très connus.

Ce qui m'a amusé

Son incursion dans la cuisine britannique avec les recettes de « Bread and Butter pudding » au chocolat et de « Trifle » au chocolat et dans la cuisine américaine avec la recette du gâteau au chocolat et à la mayonnaise (gâteau très classique aux Etats Unis).

D'une manière générale, c'est un livre très complet qui contient tout ce qu'il faut savoir sur le chocolat, que ce soit sur son histoire, sa culture, sa transformation et les techniques pour l'utiliser. Il contient à la fois des recettes classiques et des recettes très originales et même parfois très tendance, le tout très clairement expliqué.

Bon, je me demande ce que je vais choisir comme recette à présent !

Article ELLE Novembre 2005

Boisson fraîche aux fleurs d'hibiscus.

Je n’irais pas jusqu’à dire que C’est moi qui l’ai fait ! a changé mes relations avec les autres, et pourtant …Lorsque vous devenez parents vous commencez à côtoyer d’autres personnes inconnues auparavant : les autres parents. Vous les rencontrez tous les jours, à la crèche, chez la nourrice ou à l’école, mais vous ne les connaissez pas vraiment. Mais peut être est-ce parce que je suis un peu sauvage avec les autres parents.

Il y a quelques mois, ayant appris par le bouche à oreille que j’étais l’auteur d’un blog de cuisine, certains parents ont commencé à venir me voir très gentiment en me parlant de cuisine, de ce qu’ils aiment faire, des produits qu’ils viennent de découvrir et le monde s’est soudain peuplé d’autres passionnés.

C’est ainsi que Gilles, le papa d’une amie de Noé, m’a fait découvrir les fleurs d’hibiscus séchées, tout en me confiant sa recette de boisson à l’hibiscus.

J’avais déjà mangé des fraises au sirop d’hibiscus dans un restaurant mais je ne savais pas grand chose sur le sujet.

Il existe une variété d’hibiscus appelée oseille rouge de Guinée ou Karkadé. Elle est originaire d’Afrique et l’on fait sécher ses fleurs rouges pour en faire une boisson très rafraîchissante appelée bissap en Afrique ou karkadé (ou carcadé) en Egypte.

On peut utiliser ces fleurs d’hibiscus séchées pour faire des infusions, les mélanger avec du thé vert ou en faire des sirops sucrés qui accompagnent très bien les fruits rouges.

Vous pouvez trouver les fleurs d’hibiscus séchées en ligne ou dans les épiceries africaines (quartier de château rouge dans le 18 ième,  rue d’Avron dans le 20 ième, rue de Belleville) ou dans les épiceries égyptiennes.

En ce mardi, jour férié, sous le beau soleil de la région parisienne, j’ai enfin trouvé le temps de confectionner cette boisson. Sa couleur est magnifique, ainsi que son goût acidulé et l’ensemble est très rafraîchissant.

Il semble que cette boisson soit également bonne pour la santé, mais vous en saurez plus sur le site phytomania.

Pour mon premier essai, j’ai choisi de ne pas ajouter d’autres arômes pour bien goûter l’hibiscus. Vous pouvez y ajouter de la menthe fraîche, de l’eau de fleur d’oranger, du sucre vanillé et même du gingembre.

Prochain épisode : le sirop de fleurs d’hibiscus ?

Boisson fraîche aux fleurs d’hibiscus

Pour 2 litres de boisson

2 litres d’eau

1 cuil. à soupe bombée de fleurs d’hibiscus

100 g de sucre

Versez tous les ingrédients dans un grand saladier et laissez macérer deux heures en remuant de temps en temps.

Filtrez, goûtez et ajoutez éventuellement plus de sucre car certains préfèrent cette boisson plus sucrée.

Conservez cette boisson au frais dans des bouteilles en verre (pour cela, pensez à garder vos bouteilles de jus de fruits en verre, elles sont très pratiques par exemple pour transporter un velouté ou un vin chaud chez des amis).

Variante testée

1 cuil. à café de fleur d’oranger pour ½ litre de boisson : excellent.

Merci mille fois à Gilles pour toutes ces informations.

Photo prise en Guadeloupe dans le magnifique jardin botanique de Deshaies mais il ne s'agit pas de même variété que celle utilisée pour faire cette boisson.

Shopping : la tasse en verre vient de chez Monoprix, le plateau de chez Ikéa et les fleurs d'hibiscus de Borough Market à Londres.