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Merci mille fois à Laurent d’avoir organisé ce concours qui nous a permis de créer de si belles choses. Je suis totalement bluffée par toutes les recettes et les photos.
Pour découvrir les 60 créations à base de chocolat, RDV sur epicurien.be.
Vous pouvez voter pour les recettes que vous aimez en cliquant en haut à droite de chaque recette.
Si vous souhaitez voter pour ma recette, cliquez ICI.
Excellente journée à vous.
Je n’apprécie pas toujours les restaurants à l’atmosphère feutrée dans lesquels je n’ose même pas rire aux plaisanteries de David. Je préfère que les tables soient proches les unes des autres car j’aime voir ce que les autres ont dans leur assiette et même discuter avec mes voisins pour savoir s’ils ont aimé leur plat. J’ai de la chance, David n’a jamais pris ombrage de ce comportement et, même dans un restaurant sans grande intimité, nous savons parfois nous isoler.
Lorsque je suis rentrée chez L’ami Jean, un restaurant situé dans une rue paisible du 7ième arrondissement, j’ai tout de suite trouvé l’atmosphère chaleureuse, animée et gaie.
Ajoutons à cela un repas excellent, la compagnie de mes deux sœurs, un service très agréable et une adition raisonnable, c’est tout ce que j’aime dans un restaurant.
Un aperçu de ce que nous avons choisi :
Pour patienter : un fromage frais assaisonné à l’ail et à la ciboulette servi avec du pain de campagne, un petit pot de piment d’Espelette (l’ami Jean est un restaurant de spécialités basques) et du sel. Par chance Caroline n’aime pas l’ail, Lucie et moi avons pu finir le pot avec délice.
En entrée : Fine gelée d’automne, cèpes, châtaignes, vinaigrette aux herbes.
J’ai beaucoup aimé l’assaisonnement de cette terrine mais moins l’ensemble.
En revanche l’entrée « saumon mariné puis cuisiné bleu, croquant de betterave à cru » vaut vraiment le détour, bel exploit pour un poisson vu et revu.
Morue fraîche poêlée au beurre noisette.
Saint Pierre rôti, moules au bouillon de poule à l’huile d’olive.
Purée de pomme de terre et pommes sautées en guise d’accompagnement servies dans des mini-cocottes en fonte.
J’ai trouvé le plat de morue fraîche particulièrement réussi grâce à sa simplicité et au fondant du poisson.
Les desserts sont servis sur des petites planches en bois avec des serviettes en papier aux couleurs du pays basque. Ils sont savoureux et gourmands. J’ai particulièrement aimé le crémeux de citron jaune, en fine gelée de pistaches et la crème onctueuse, passion, orange et citron vert caramélisée.
Le menu avec entrée, plat et dessert est à 29 euros, ce qui pour la grande qualité du repas et du service est très raisonnable.
Exceptionnellement ce soir là, je n’ai pas bu de vin, je ne pourrais donc pas en parler. 
Un grand merci à Pim qui m’a conseillée ce restaurant.
Anecdote : avant de partir, nous avons grignoté du jambon basque d’une qualité incroyable, directement dans l’assiette de l’acteur Edouard Baer qui dînait seul au bar. Je ne sais pas si c’est à cause de cela que j’ai bloqué ma carte bancaire en composant 3 fois un mauvais code mais cette soirée m’a coûtée un voyage à ma banque le lendemain.
L’ami Jean
27 Rue Malar
Paris 7
Tél : 01 47 05 86 89
C’est moi qui l’ai fait s’accorde quelques jours de vacances, pour repartir de bon pied.
Cette année a été riche en terme de gastronomie, et je suis heureuse de voir la communauté des blogs de cuisine s’agrandir. Lorsque j’ai commencé il y a plus d’un an et demi, je me sentais très seule avec mon blog de cuisine en langue française. Je faisais des coucou à Martine de l’autre coté de l’Atlantique. Puis, petit à petit, des blogs de cuisine francophones sont apparus et ce fut le début d’une grande aventure. Aujourd’hui, je suis comblée, nous sommes plus de 100 et je sais que ce n’est pas fini. De nouveaux blogs de cuisine se créent jour après jour, comme par exemple La popote du potager et Kisine et archi.
Les journalistes ne s’y trompent pas puisqu’ils commencent à écrire sur ce phénomène et je pense que ce n’est qu’un début.
Heureusement, Laurent a créé le formidable outil Blog Actu qui nous permet de suivre en temps réel les nouveaux billets gastronomiques. Pour ma part, j’ai arrêté il y a bien longtemps de mettre mes liens à jour.
Je suis certaine que d’autres choses verront le jour au sein de notre communauté très active et j’ai hâte de voir cela.
Tout au long de l’année, j’ai été très touchée par vos nombreux commentaires, sans oublier vos mails extrêmement sympathiques que je reçois chaque jour. Même si ce n’est pas facile, j’essaie de répondre à tous, parfois avec un peu de retard.
Je vous souhaite à toutes et à tous un très joyeux Noël.
A très bientôt.
| Design et réalisation | |
TUBBYDEV/TUBBYBLOG |
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| 3 rue de l'arc de triomphe 75 017 Paris France |
Web : Entreprises et blogs |
| Email : [email protected] | |
| Plateforme de publication | |
| Typepad - SixApart http://www.typepad.com | |
Et voilà, c’est pratiquement devenu une tradition. A chaque édition de Blog Appétit, dès que je connais les produits, je vais au marché pour les acheter et les photographier. Laurent intervient ensuite pour en faire une bannière. Je n’ai jamais osé lui dire, mais je préfère de beaucoup faire les photos, je suis nulle en bannière.
C’est assez drôle d’acheter des produits pour les photographier car je ne les regarde pas de la même manière et je passe un temps fou à les choisir. Je me souviens en particulier de fraises que j’ai transportées comme des joyaux pour ne pas les abîmer.
Vient ensuite le moment de la photo où je découvre avec stupeur que certains produits n’aiment pas être photographiés ensemble, il faut alors tricher et les prendre séparément.
Cette fois ci, ce fut les champignons pour l'édition "émotion champignons". Les choisir, les sortir du sac en papier, les poser sur une planche, les observer, les bouger. Prendre quelques photos, regarder ce que cela donne, puis changer totalement d’idée. Enfin, croiser les doigts en espérant que les photos plaisent à Laurent dont le mot d’ordre est « horizontalité » (bannière oblige).
Une fois les photos envoyées, je me demande alors comment les cuisiner car, je ne vais pas gâcher une si belle marchandise.
Avec ces champignons, j’ai tout de suite choisi d’en faire une fricassée en souvenir de la meilleure jamais mangée, dans un petit restaurant du Marais dont je ne me souviens pas du nom. Une bonne fricassée bien relevée d’ail, avec du bon pain et un bon verre de vin. Le bonheur. David en face de moi, un serveur farceur qui, au moment de me servir le café renverse une tasse. Il s’agit d’une blague, la tasse est vide et accrochée à sa cuillère. Un éclat de rire plus tard, et cela devient un souvenir impérissable d’un déjeuner en amoureux dans un de nos quartiers préférés.
Cette fricassée s’est retrouvée transformée en tarte feuilletée pour un déjeuner plus consistant et c’était excellent.
Tarte feuilletée aux champignons
400 g de champignons de Paris
100 g de chanterelles
100 g de shitake
30 g de beurre
2 gousses d’ail émincées
1 échalote émincée
1 rouleau de pâte feuilletée déjà étalée
1 œuf battu et mélangé à 1 cuil. à soupe de lait
Herbes fraîches
Déroulez la pâte feuilletée, posez-la sur une plaque de cuisson et badigeonnez-la avec le mélange œuf-lait.
Mettez au frais.
Nettoyez les champignons très rapidement sous l’eau et posez-les sur du papier absorbant, sans les mélanger.
Coupez-les en morceaux sauf pour les chanterelles si elles sont petites.
Préchauffez votre four à 210°C.
Faites fondre le beurre dans une sauteuse sur feu doux.
Faites-y revenir l’ail et l'échalote durant 4 minutes, sans les colorer.
Augmentez le feu et faites revenir les champignons de Paris, 4 minutes en remuant.
Ajoutez les chanterelles et faites-les revenir 1 minute.
Ajoutez les shitakes et faites encore revenir 2 minutes en remuant.
En dehors du feu, salez et poivrez selon votre goût.
Etalez cette fricassée de champignons sur la pâte en laissant un bord libre.
Enfournez pour 15 minutes environ, jusqu’à ce que la tarte soit bien dorée.
Ajoutez les herbes fraîches.
Servez avec une salade et un bon verre de vin.
Pendant des années, j’ai souffert de ma « faculté » à pouvoir passer des heures dans le noir sans pouvoir m’endormir. Lorsque j’étais étudiante, j’en profitais pour faire des maths dans ma tête, trouvant d’un seul coup la solution au contrôle que j’avais raté le matin même. Puis, ce fut le temps des grandes décisions prises au beau milieu de la nuit.
Il y a finalement très peu de temps que j’ai appris à ne plus souffrir de cet état, et je me demande même si ces insomnies ne sont pas salutaires (je vous rassure tout de même, cela ne m’arrive pas toutes les nuits).
Mais pourquoi (comme dirait Dorian) est ce que je vous raconte ça ?
Il y a quelques semaines, j’ai décidé de participer au concours spécial chocolat organisé par Laurent. J’avais quelques idées mais je n’arrivais pas à me décider. Puis, un soir, impossible de dormir. J’ai laissé mon esprit vagabonder et une image de jardin zen comestible m’est venue en tête. Je me suis alors endormie comme un bébé.
Le plus dur restait à faire. Je savais que j’allais faire des truffes pour imiter les pierres. Le sol ne me semblait pas être un problème. En revanche, je ne voyais pas trop comment faire le râteau. J’ai bien pensé à utiliser le râteau de mon jardin zen miniature mais il n’est pas vraiment comestible. C’est Clotilde qui m’a convaincue de fabriquer un râteau à l’aide d’un Mikado. Excellente idée mais réalisation un peu minutieuse. J’ai manqué plusieurs fois de me brûler avec le glucose chaud, mais j’étais plutôt fière de mon râteau.
L’idée de la fève Tonka pour aromatiser les truffes s’est imposée lorsque je les ai trouvées chez Goumanyat. J’avais souvent lu que les chocolatiers ou chefs utilisent cette épice magique, j’attendais juste d’en trouver. Son arôme est incomparable. Pour une allergique au parfum comme moi, c’est un vrai bonheur : je peux ouvrir la petite boite, humer son parfum assez soutenu, sans problèmes d’allergies. Malheureusement, c’est comme pour le vin, j’ai du mal à décrire son arôme par des mots. Je vous conseille vivement de goûter à cette épice qui est inoubliable.
Un grand merci à Laurent pour cette idée de concours et sa générosité par rapport aux lots mis en jeu. J’ai hâte de voir les réalisations des uns et des autres.
La recette transmise pour le concours :
Depuis que j’écris des dossiers et des recettes pour Arts-Culinaires.com, je découvre un exercice très intéressant : celui de cuisiner des choses pour des occasions particulières mais en dehors de ces occasions. Après le pique nique, le brunch, les pots au boulot, ce fut le moment de préparer le repas de Noël.
En Novembre, j’ai fabriqué des bûches, réalisé des truffes au chocolat, des verrines pour l’apéritif, et fait des plats de légumes pour accompagner la pièce maîtresse du repas.
Je vous invite à aller voir les dossiers et les recettes suivantes
Bûche aux griottes, façon foret noire
Bûche au chocolat blanc et aux framboises
Truffes au chocolat et au gingembre confit
Truffes au chocolat et au cognac
Truffes au chocolat et au café
Velouté de céleri rave au curry, chips de bananes
Verrine de ricotta, noisettes et raisins
Verrine de boudin noir, pommes et spéculos
Frites de patates douces au piment d'Espelette et au thym
Poêlée de marrons aux shitakes
Chou rouge braisé aux pommes, raisins et épices
Vous trouverez également les accords mets et vins de Patrick.
Bons préparatifs de Noël !
Pour une autre recette de petits pots de crème au chocolat, je vous invite à voir cette page sur mon blog.
Comme Ester il y a quelque temps, je fais concurrence à une grande marque de crème au chocolat. Il ne s’agit pas d’une croisade, mais juste d’une évolution dans ma manière de nourrir les enfants.
Il y a deux ans, j’ai soudainement remarqué que je donnais aux enfants trop de desserts sucrés que l’on trouve dans les grandes surfaces. Sans rien dire à personne, j’ai tout simplement arrêté d’en acheter. Le plus étrange dans cette histoire est que c’est passé totalement comme une lettre à la poste car les enfants ne se sont rendus compte de rien.
Les étagères de notre frigo se sont retrouvées remplies uniquement de yaourts nature, de fromage blanc et parfois de yaourts aux fruits. Les enfants rajoutent du sucre ou, de temps en temps, de la butterstoch sauce, dont ils raffolent.
En revanche, si Gabrielle choisit toujours un yaourt nature lorsque nous sommes en dehors de la maison, Noé se précipite vers les crèmes au chocolat du commerce, ravi de l’aubaine. Attraction fatale envers ces pots en plastique brun, goût prononcé pour le chocolat ?
Dimanche dernier, nous étions invités chez mon amie Hélène et j’ai proposé de venir avec le dessert, pour 4 adultes et 4 enfants.
Désir inconscient de faire un test ? Pour la première fois de ma vie, j’ai fait des crèmes au chocolat que j’ai servies dans des pots en grès qui s’ennuyaient ferme dans un placard.
Verdict : gros succès, à la fois du coté des adultes que du coté des enfants. Depuis ce jour, je suis rassurée sur le goût des enfants pour les bonnes choses.
Je me suis servie d’une recette de Marmiton en faisant quelques modifications (merci aux commentaires) : j’ai rajouté un jaune d’œuf en plus de ceux de la recette, substitué une partie du lait par de la crème fraîche et ajouté 4 cuil. à soupe rases de maïzena à la place de deux. J’ai également légèrement modifié la procédure.
Petits pots de crème au chocolat
Ingrédients pour 8 pots
80 cl de lait
20 cl de crème fraîche
200 g de chocolat noir à 70%
3 jaunes d’œufs
50 g de sucre
4 cuil. à soupe rases de maïzena
Mettez le lait et la crème dans une grande casserole et faites chauffer sur feu moyen.
Pendant ce temps, cassez le chocolat dans un bol en verre.
Dans un autre grand bol en verre, mélangez les jaunes, la maïzena et le sucre, à l’aide d’un fouet, jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
Dès les premiers bouillonnements du mélange lait crème, retirez la casserole du feu et versez la moitié sur le chocolat.
Remuez jusqu’à ce que tout le chocolat soit fondu et le mélange bien lisse.
Versez-le sur le reste du lait, remuez et versez sur le mélange œufs sucre maïzena, petit à petit, tout en remuant.
Reversez l’ensemble dans la casserole et faites chauffez sur feu doux.
Remuez sans cesse, jusqu’aux premiers bouillonnements.
Continuez à remuer pendant deux minutes puis versez dans des petits pots.
Laissez refroidir puis mettez au frais pendant au moins quelques heures.
Astuce : vous pouvez utiliser des ramequins ou des pots de yaourts recyclés en grès (comme sur la photo) ou en verre.
En février 2005, Pim avait organisé une collecte suite à la catastrophe du Tsunami. De nombreux blogs anglo-saxons avaient créé pour l’occasion le menu de l’espoir avec différentes recettes. De mon coté, j’avais traduit leurs recettes en français et d’autres européens avaient fait de même dans leur langue respective.
Malheureusement, l’actualité a été encore une fois synonyme de catastrophe avec le tremblement de terre en Inde et au Pakistan. Pour les habitants touchés par cette catastrophe, Pim organise à nouveau une collecte via Just Giving qui sera ensuite reversée à l’Uniceff.
Cette collecte est accompagnée d’une Tombola. En achetant un billet via Just Giving, vous participez à cette tombola dont les lots sont offerts par différents auteurs de blogs de cuisine.
Lorsque j’ai rencontré Pim il y a quelques semaines à Paris, j’ai accepté de participer.
Mon cadeau à l’un des gagnants sera un couteau à éplucher les tomates de la marque Zyliss, ainsi qu’un assortiment de 3 tablettes de chocolat noir, de chez Michel Cluizel.
Pour faire un don et participer à la tombola, c’est très simple :
Connectez vous sur Just Giving, avant le 23 décembre 2005, faites un don de 5 USD ou plus, et n’oubliez pas d’indiquer en commentaire le cadeau choisi si vous gagnez.
La liste des cadeaux est disponible chez Pim.
Le tirage au sort aura lieu après le 23 décembre et, si vous faites partie des gagnants, vous recevrez votre cadeau en janvier 2006.
Crédit Photo : Heidi Swanson
N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez plus d’informations.
