C'est moi qui l'ai fait !

Quiche épinard ricotta et féta : mes lecteurs et mes lectrices ont du talent + la vidéo du week-end.

Quiche épinard ricotta et féta : mes lecteurs et mes lectrices ont du talent + la vidéo du week-end

Il y a 2 semaines, après avoir gouté à ma quiche aux épinards, je vous confiais que David et moi avions été déçus. Il lui manquait un « je ne sais quoi » au niveau du goût.

Suite à ce billet, j’ai été épatée par toutes vos idées généreusement confiées à travers les commentaires.

Je n’attendais plus qu’à retrouver des épinards dans mon panier Amap, afin de retenter l’expérience. Ce fut le cas jeudi soir et j’ai pu alors me replonger dans toutes vos idées, avant de concocter une nouvelle quiche.

J’en ai profité pour vous concocter le récapitulatif de toutes vos idées. Je m’en servirai pour d’autres versions et n’hésitez pas de votre coté à y piocher des idées dans votre cuisine de tous les jours.

J’ajoute quoi à ma quiche aux épinards ?

J’ai classé vos idées par thème et j’ai ajouté vos prenons en face de chaque idée.

Des épices ?

Coriandre moulue (Marie)
Graines de carvi dans la pâte et des épices indiennes « panch phoron » dans l’appareil à quiche (Véronique)
Curry (Agnès et Stéphanie)
Muscade (Sapristi, Isabelle et Bénédicte)
Cumin (Mjo)
Mélange « 4 épices) (Késako)
Une quiche aux accents tunisiens, de la part de « Tunis » «écraser avec le fromage un peu (1/2cc) de harissa diari (pas celle en tube du cap bon, non, de la bonne harissa parfumée et épicée), un peu de tabil (le ras el hanout tunisien, juste un mélange de coriandre, carvi, ail, piment et boutons de rose pour moi) et du curcuma »

De l’acidité ?

Zeste et jus de citron (Estérelle) ou zeste de citron (Céline)

Du poisson ou de la viande ?

Vous avez été nombreuses à suggérer l’ajout de saumon fumé (Christel, Laurence, Béné, Mélodie, Agnès, Gwejeanne, Céline, Bénédicte, Clea), de saumon frais (Céline, Gwejeanne et Nelly) ou de poisson fumé (Dada)

Jambon cru (Céline) ou bacon (Marie) ou lardons (Laurie, Florence, Floflo et Fleur de Lupin)
Magret fumé (Christine)
Chrorizo, lardons et oignons (Monia)

Du fromage ?

Vous avez été nombreuses à suggérer l’utiliser de la ricotta à la place du cottage cheese (Babel, Christel) ou alors d’utiliser du cottage cheese fait maison (Khala)

Plus de parmesan (Annie)
Camembert (Calisse)
Du chèvre frais avec des noix (Lulu) ou du chèvre (Spécialiste de l’éphémère et Fleur de lupin
Un fromage à pâte persillée (Marie et Babel)
Un mélange de roquefort et de Noix (Francoise et Adeline)
De la féta (Heleni, Céline et Evita)

D’autres choses ?

Des tomates confites (Myk) ou séchées (Clea)
Des ravioles (Clea)

Des oignons caramélisés (Fanny et Botacook)
Des raisins secs (Nathalie, Alexandra et Evita)
Plus d’ail (Babel et Isabelle)
De la menthe ciselée (Nathalie et Foodie Froggy)
Des herbes fraiches (Héléni)
Des champignons (Laurie, Florence et Floflo)

Du fond de veau ou un cube de bouillon pour faire revenir les épinards (Mirabelle)
De la levure maltée (Adeline)
Des graines de sésame (Marie)
Des herbes aromatiques et parmesan dans la pâte brisée
Du wasabi tartiné sur la pâte (Pascale H) et Béa
Du sirop de balsamique en accompagnement (Joséphine)
De la moutarde douce (Marjorie)
De la pâte filo à la place de la pâte brisée (Christine)
Une quiche à la mode indienne « en rajoutant soit des morceaux de pommes de terre (ou des tomates et un petit piment vert, petite variante) que tu fais revenir après avoir fait tomber tes épinards et où tu ajoutes des graines de moutardes et quelques épices comme du curry » de la part de Stéphane

En fonction du contenu de mes placards et de vos idées, voilà la version à laquelle je suis arrivée :

J’ai remplacé le cottage cheese par de la ricotta, j’ai utilisé une gousse d’ail entière, un peu plus d’épinard. J’ai épicé l’appareil à quiche avec de la coriandre moulue et du cumin, du zeste et du jus de citron. J’ai ajouté de la féta sur le dessus, avec les pignons de pin. Et voilà !

Il est clair que cette fois, je suis arrivée à une version beaucoup plus sympathique et ce n’est pas David qui vous dira le contraire.

Merci mille fois à vous pour tous vos trucs, je garde ce billet en mémoire pour ma prochaine livraison d’épinards.

Quiche épinard ricotta et féta à la coriandre et au cumin

Ingrédients pour 4 à 6 personnes

1 pâte brisée
300 g d’épinard frais
1 gousse d’ail
1 cuil. à soupe d’huile d’olive
3 œufs
250 g de ricotta
25 cl de soja cuisine
½ cuil. à café de coriandre moulue
½ cuil. à café de cumin moulu
Le zeste d’un citron
3 cuil. à soupe de jus de citron
Sel et poivre du moulin
150 g de féta
1 poignée de pignons de pin

Préchauffez votre four à 200 °C (th. 7).
Garnissez un moule avec la pâte puis coupez le surplus à l’aide d’un couteau.
Posez un cercle de papier sulfurisé sur la pâte, recouvrez de billes de cuisson ou de haricots secs, puis enfournez pour 8 minutes.
Retirez papier et billes puis prolongez la cuisson pendant 5 minutes, jusqu’à ce que la pâte soit dorée.
Lavez les épinards, retirez les tiges puis séchez-les.
Faites chauffer l’huile d’olive dans une poêle puis faites revenir les épinards sur feu entre moyen et vif, avec la gousse d’ail pelée puis écrasée en purée, pendant 5 minutes.
Mettez dans une passoire puis laissez refroidir.
Pressez les épinards entre vos mains, afin de retirez l’eau puis hachez-les grossièrement à l’aide d’un couteau.
Dans un bol, battez très légèrement les œufs.
Ajoutez la ricotta, le soja cuisine puis mélangez.
Ajoutez les épices, le zeste de citron, le jus de citron, le sel et le poivre puis mélangez.
Goutez puis rectifiez éventuellement l’assaisonnement.
Disposez les ¾ des épinards sur la pâte cuite à blanc et ajoutez le reste des épinards au mélange à base d’œufs.
Versez sur la pâte.
Emiettez la féta entre vos mains et disposez-la sur toute la surface.
Ajoutez les pignons de pin sur la surface de la quiche puis enfournez.
Faites cuire pendant environ 30 minutes, jusqu’à ce que la garniture soit prise et le dessus bien doré.
Laissez tiédir avant de servir.

La vidéo du Week- end

"Meat My Chef" Pascale rencontre le Chef Patrick Gauthier from beefisbeautiful on Vimeo.

Souvenir d’un après midi passé en cuisine avec le chef Patrick Gauthier du Restaurant La Madeleine parce que j’avais accepté de participer gracieusement au buzz gourmand autour du bœuf irlandais en Juin dernier.

Sacrée rencontre : j’étais un rien terrorisée à l’idée de cuisiner  avec lui mais il a été tellement chaleureux et accueillant que je me suis sentie tout de suite très à l’aise (peut être même trop sur la vidéo). J’ai également appris des tas de choses.

N’hésitez pas à tenter votre chance en participant au concours, l’Irlande est un pays magnifique.

 

Petits moelleux poires gingembre.

Petits moelleux poires gingembre

Communiquer sa passion par l’écriture est une expérience très enrichissante, que j’ai découverte petit à petit, en créant ce blog.

Communiquer sa passion en rencontrant des gens, c’est encore mieux, surtout lorsque cela vous donne la possibilité de pouvoir échanger avec des lecteurs et des lectrices.

C’est à l’occasion du salon Cuisinez que j’ai pu faire cette expérience pour la première fois, en animant une démonstration culinaire. J’ai continué au salon du blog culinaire à Soissons, en décembre dernier puis en juin, en animant des ateliers avec des enfants, sur le thème des mots autour du goût, à l’occasion des journées ludo-pédagogiques organisées par la fondation Nestlé.

Tout récemment, c’est pour « Cuisines en fête », que j’ai cuisiné avec des participants, fin Septembre, à Bercy Saint Emilion.

Sous un magnifique soleil, après la salade de fruits d’automne et le cake citron pavot cardamome, ce sont ces petits moelleux aux poires que nous avons confectionnés ensemble. Je me souviens en particulier de deux petites filles qui étaient incroyablement motivées et trop mignonnes.

Ces ateliers sont toujours passionnants car c’est vraiment l’occasion de partager sur le vif des petits trucs, ce que l’on ne peut pas toujours faire par écrit, comme par exemple de faire fondre le beurre alors que vous êtes en train de faire préchauffer votre four.

Je m’amuse toujours à venir avec mes ustensiles fétiches et à les prêter, histoire de montrer par l’exemple comme ils sont pratiques. C’est ainsi que nos avons utilisé l’éplucheur à tomates, qui fait également merveille sur les poires ou la râpe microplane, la reine pour prélever avec délicatesse les zestes d’agrumes afin d’en libérer tout leur arôme.

Comme promis, voilà enfin la recette des petits moelleux aux poires.

Petits moelleux poires gingembre

Ingrédients pour une douzaine de moelleux

3 œufs
90 g de sucre
30 g de miel
60 g de crème liquide entière
165 g de farine à levure incorporée
Ou 165 g de farine et 1 cuil. à café rase de levure chimique
90 g de beurre demi-sel fondu
2 poires, 1 cuil. à soupe de jus de citron
1/2 cuil. à café de gingembre moulu

Ustensiles : pour cette recette,  j’aime beaucoup utiliser des moules à muffins en silicone. Vous pouvez également utiliser des moules en métal garnis de caissettes en papier.

Pelez les poires, coupez-les en quartiers, retirez le cœur puis coupez chaque quartier en dés.
Versez dans un bol, ajoutez le jus de citron et mélangez.
Préchauffez votre four à 180°C (th.6).
Dans un grand bol, mélangez les œufs, le sucre et le miel.
Ajoutez la crème et mélangez.
Ajoutez la farine (ou la farine et la levure), le gingembre,  puis mélangez jusqu’à obtenir un mélange lisse.
Ajoutez le beurre fondu et tiédi, et mélangez à nouveau.
Mettez de coté 100 g de dés de poires, ajoutez le reste à la pâte à gâteau et mélangez.
Remplissez les moules à muffins aux ¾ puis disposez les dés de poires restants sur la surface des moelleux.
Enfournez pour 15 à 20 minutes (une lame de couteau insérée au centre des moelleux, doit ressortir sèche).

 

C’est moi qui l’ai fait : les commentaires et les recettes.

C’est moi qui l’ai fait : les commentaires et les recettes

Ce n’est pourtant pas le printemps, mais mon blog a décidé de se refaire une beauté. Je l’ai donc confié aux mains expertes de Frédéric de chez Typepad. En lisant vos commentaires élogieux, je suis ravie qu’il vous plaise.

Si nous avons changé les couleurs des murs et retiré un peu de poussière, les meubles sont restés quasiment à la même place.

Je profite de ce billet pour revenir sur certains points.

Sur les commentaires

Lorsqu’un billet a plus de 30 commentaires, il faut cliquer sur le bouton « commentaires suivants » pour voir apparaitre votre commentaire. Quelques lecteurs étaient inquiets de ne pas lire leur commentaire, voilà l’explication.

Sur les recettes

Mon blog a 5 ans et demi et comprend plus de 1 000 recettes. J’ai choisi il y a un moment de ne plus afficher les archives. En revanche, si vous cliquez sur les catégories (colonne de droite, sous les commentaires récents),  les titres des recettes sont listés et il suffit de cliquer sur le titre qui vous intéresse. Vous pourrez ainsi retrouver toutes les recettes depuis le premier jour. 

Vous pouvez également utiliser le bouton « Chercher » en haut à droite de ce blog.

Ce bouton utilise la recherche de Google mais uniquement à l’intérieur de mon blog. Je l’utilise moi même pour retrouver mes petits.

Recevoir les mises à jour

Si vous souhaitez recevoir un mail à chaque nouveau billet, il suffit d’ajouter votre mail en haut à droite de cette page dans le cadre « M’inscrire ». Vous pourrez à tout moment vous désinscrire. Vous pouvez également utiliser les boutons « Flux RSS » qui se trouvent dans la colonne de droite, tout en bas.

Merci pour votre fidélité et à très bientôt.

 

Crackers au curry, graines de lin et sel de Maldon.

Crackers au curry, graines de lin et sel de Maldon

"Merci à toutes et à tous pour vos idées sur ma quiche aux épinards. Il me tarde de me lancer, grâce à vous".

Merci mille fois à Frédéric de chez Typepad pour ce coup de jeune sur mon blog, je me sens très bien dans ma nouvelle maison".

C’est en Grande-Bretagne que j’ai découvert les crackers. Ils sont servis avec le fromage, après le dessert.  Il en existe des dizaines de variétés différentes, les marques rivalisant de créativité depuis quelques années. Ils sont parfois vendus dans des jolies boites en métal, juste avant Noël.

J’aime leur coté croquant et léger. Allez savoir pourquoi, je ne les mange jamais avec le fromage en France, mais plutôt avec des tartinades. 

Il y a quelques jours, je me suis enfin lancée dans la recette des crackers de Laurence Salomon, que j’avais en tête depuis plus d’un an, pour accompagner une tartinade aux tomates séchées, dont je suis friande.

Les crackers de Laurence Salomon sont « dead easy to make » comme disent les anglo-saxons et vous en trouverez des dizaines de déclinaisons sur les différents blogs de cuisine. Ayant doublé la recette d’origine et n’ayant pas voulu mettre plusieurs plaques en même temps dans le four, cela m’a juste pris un peu plus de temps que prévu. Le seul secret de cette recette est d’étaler la pâte vraiment finement. Pour le reste, c’est une recette que vous pouvez agrémenter à votre sauce en mélangeant les farines, les épices, les graines, etc. Certaines y ajoutent même du parmesan en remplacement d’une partie de la farine.

De mon coté, j’ai ajouté du curry en poudre que j’achète chez Pinto (j’adore ses mélanges d’épices) et des graines de lin parce que, comme les oiseaux, je raffole des graines et qu’en plus il parait qu’elles sont excellentes pour la santé car bourrées d’Oméga 3. J’ai également ajouté un peu de sel de Maldon sur le dessus des crackers car, en goutant la première fournée, je me suis dit qu’ils seraient encore meilleurs avec.

Crackers au curry, graines de lin et sel de Maldon

Recette adaptée de celle de Laurence Salomon, parue dans un Elle à Table, il y a un an et demi

J’ai doublé la recette d ‘origine et je vous conseille même de la doubler à nouveau, car, tant qu’à mettre des graines de lin partout dans votre cuisine, autant que ça vaille le coup.

Ingrédients pour environ 80 crackers

100 g de farine
60 g de farine de Sarrazin
100 g de farine complèteT80
½ cuil. à café de sel fin
1 cuil. à café de curry doux
2 cuil. à soupe de graines de lin
8 cuil. à soupe d’huile d’olive
Un peu d’eau (environ ¼ de verre d’eau)
Graines de lin et sel de Maldon ou fleur de sel pour la finition

Versez les farines, le sel, le curry, les graines de lin et l’huile d’olive dans le bol de votre robot.
Actionnez-le pendant 5 secondes.
Par la cheminée, alors que le robot est en route, ajoutez juste assez d’eau pour que la pâte soit assez souple pour former une boule.
Sortez la pâte, formez une boule puis étalez-la grossièrement avec le plat de votre main en une galette.
Emballez de film étirable et réservez au frais pendant 2 heures.
Vous pouvez très facilement préparez cette pâte à la main en mettant tous les éléments secs dans un grand bol, avec l’huile d’olive. Mélangez puis ajoutez l’eau petit à petit, en pétrissant juste assez pour pouvoir former une boule.
Préchauffez votre four à 170°C.
Divisez la pâte en deux puis étalez-la le plus finement possible (2 à 3 mm).
N’hésitez pas à fariner votre plan de travail.
Parsemez la surface de la pâte avec environ 1 cuillère à soupe de graines de lin puis enfoncez-les en passant le rouleau à pâtisserie une ou deux fois sur la surface.
Coupez en carrés de 4 cm de coté et disposez-les sur une plaque de cuisson anti adhésive. Il suffit de laisser 1 cm entre chaque cracker car ils vont très légèrement gonfler mais uniquement en hauteur. Si vous avez une petite roulette que l’on utilise pour couper la pâte à raviolis, c’est le moment de l’utiliser (tiens, je n’ai même pas cet ustensile à la maison !).
Ajoutez sur chaque cracker 1 pincée de fleur de sel ou de sel de Maldon puis enfournez pour 12 minutes environ.
Pendant ce temps, étalez le restant de la pâte puis procédez comme précédemment.
Les crackers sont cuits lorsqu’ils sont brun clair.
Faites-les refroidir sur une grille puis mettez-les dans une boite en métal.
Ils se conservent très bien pendant plusieurs jours.

Que servir avec ?

Tartinade aux tomates séchées et au tofu soyeux

Guacamole

Houmous de petits pois

Crème de pois chiches à la citronnelle et aux amandes

Caviar d’aubergines

Si vous êtes accro aux crackers

Crackers multi-graines

 

Concours photo culinaire : « Gâteau d’enfance ».

Concours photo culinaire : « Gâteau d’enfance »

Lors d’un atelier très studieux portant sur la photographie culinaire chez Isabelle Rozenbaum, Dorian, Isabelle et moi avons eu très envie d’organiser un concours autour de la photo culinaire, sujet qui nous passionne de plus en plus.

Le thème que nous avons choisi est « Gâteau d’enfance ».

Comment participer ?

Il vous suffit de publier votre photo (et éventuellement la recette) sur votre blog en précisant que vous participez au concours de photo culinaire organisé par Isabelle de l’Oreille culinaire, Dorian et Pascale.

Envoyez ensuite votre photo à Isabelle ([email protected]). Le format doit être en JPEG et d’une taille de 500 pixels, en 72 DPI environ (si vous avez besoin de précisions, vous pouvez envoyer un mail à Isabelle).

Si vous n’avez pas de blog, envoyez  simplement votre photo à Isabelle avec vos coordonnées.

Quand ?

Envoyez votre photo avant le 1 er décembre 2009, minuit.

Le jury ?

Il est constitué de Dorian, d’Isabelle et de moi-même. Nous choisirons trois photos que nous publierons sur nos blogs respectifs vers la mi décembre.

Qu’est ce que l’on gagne ?

Nous avons choisi trois prix

1er prix : un atelier photographique culinaire chez Isabelle en 2010.

2 ème prix : 3 ustensiles en inox (zesteur, coupe pomme et rasoir à légumes).

3 ème prix : 3 livres de cuisine : « Inde », « Slunch » et « Apéritif dinatoire »

La cerise sur le gâteau (d’enfance bien sur)

Remise des prix à l’atelier d’Isabelle (Paris 20e) avec les personnes gagnantes et participantes autour d’une dégustation de vin.

Si vous ne pouvez pas vous déplacer, les prix (sauf le premier bien entendu) vous seront envoyés par la poste, à une adresse en France uniquement.

Excellente journée à vous et j'ai hâte de voir vos magnifiques photos.

 

Quiche épinards et cottage cheese ou la promesse d’une quiche bien meilleure.

Quiche épinards et cottage cheese ou la promesse d’une tarte bien meilleure.

« Il manque quelque chose » me répondit David alors que je venais juste de lui demander comment il trouvait ma quiche aux épinards et au cottage cheese.

C’est terrible ce bout de phrase « il manque quelque chose », surtout quand vous avez eu la même impression en mangeant la première bouchée.

« Il manque quelque chose » est bien pire que « c’est trop cuit » ou « c’est trop salé » car dans ces deux cas, on se dit juste que l’on mettra moins de sel la prochaine fois et que l’on baissera la température du four ou le temps de cuisson et, Hop, on peut arrêter d’y penser.

« Il manque quelque chose » mais quoi donc ?

Sur la pâte maison, rien à redire, elle est croustillante et un brin rustique l'ayant faite avec de la farine complète.

Sur la consistance de la garniture, rien à redire, c’est bien cuit et moelleux, avec juste ce qu’il faut de croquant, apporté par les pignons de pin.

Coté assaisonnement, ça va aussi.

C’est plus que le goût est assez fade, malgré les épinards frais que j’ai fait revenir dans un peu d’ail et d’huile d’olive.  Il manque comme une dimension, que l’on pourrait peut-être apporter par du fromage de chèvre, de la féta, etc.

Tout en continuant notre repas, nous nous sommes dit que ce serait amusant de vous demander à vous lecteurs et lectrices de me dire ce qui manque à votre avis à ma recette. Je prendrai alors quelques-unes de vos idées pour créer une nouvelle tarte.

La seule condition est de garder la pâte brisée et les épinards que je compte bien retrouver dans mon prochain panier de légumes bio.

Si le cœur vous en dit, n’hésitez pas à me donner vos idées, je referai alors ma tarte aux épinards, après les vacances.

Voilà comment j'ai préparé cette quiche :

Quiche épinards et cottage cheese

Ingrédients pour 4 à 6 personnes

1 pâte brisée
200 g d’épinard frais
½ gousse d’ail
1 cuil. à soupe d’huile d’olive
3 œufs
250 g de cottage cheese
25 cl de soja cuisine
25 g de parmesan fraichement rapé
1 poignée de pignons de pin
Noix de muscade fraichement râpée
Sel et poivre du moulin

Préchauffez votre four à 200 °C (th. 7).
Garnissez un moule avec la pâte puis coupez le surplus à l’aide d’un couteau.
Posez un cercle de papier sulfurisé sur la pâte, recouvrez de billes de cuisson ou de haricots secs, puis enfournez pour 8 minutes.
Retirez papier et billes puis prolongez la cuisson pendant 5 minutes, jusqu’à ce que la pâte soit dorée.
Lavez les épinards, retirez les tiges puis séchez-les.
Faites chauffer l’huile d’olive dans une poêle puis faites revenir les épinards sur feu entre moyen et vif, avec la demi gousse d’ail pelée puis écrasée en purée, pendant 5 minutes. Les épinards doivent être bien fondants.
Mettez-les dans une passoire puis laissez tiédir.
Pressez les épinards entre vos mains, afin de retirez l’eau puis hachez-les grossièrement à l’aide d’un couteau.
Dans un bol, battez très légèrement les œufs.
Ajoutez le cottage cheese, le soja cuisine, le parmesan, puis mélangez.
Ajoutez la muscade, le sel et le poivre puis mélangez.
Goutez puis rectifiez éventuellement l’assaisonnement.
Disposez les ¾ des épinards sur la pâte cuite à blanc, ajoutez le reste des épinards au mélange à base d’œufs, puis versez-le sur la pâte.
Ajoutez les pignons de pin sur la surface de la quiche puis enfournez.
Faites cuire pendant environ 30 minutes, jusqu’à ce que la garniture soit prise et le dessus bien doré.
Laissez tiédir avant de servir.

Le hors sujet du jour : Gagnez 3 ans de ménage gratuit

Parce que je trouve l’idée plutôt amusante, j’ai accepté de relayer l’info sur mon blog. Le site Nestor Services organise un jeu qui peut vous permettre de gagner 3 ans de ménage. Je vais participer, on ne sait jamais, car je préfère passer du temps dans la cuisine plutôt que de faire le ménage. N’hésitez pas à participer également en cliquant sur l’image qui suit.

Frites de rutabaga au curry ou comment rendre le rutabaga sexy.

 Frites de rutabaga au curry ou comment rendre le rutabaga sexy.

En découvrant cette grosse boule pas très glamour dans mon panier de légumes bio, j’ai du faire une drôle de tête. Je n’étais même pas certaine de savoir ce que c’était. Dans un premier temps, j’ai pensé à un navet qui aurait trop poussé mais j’avais un sérieux doute.

C’est Silvia (voir note) qui a éclairé mes lanternes en me disant que c’était un rutabaga, ce fameux légume que ceux qui ont connu la guerre ne peuvent plus voir en peinture. C’est d’ailleurs l’avis du Larousse gastronomique (édition de 1938, précieux cadeau de mon amie Hélène) qui n’est pas très bavard sur le sujet en disant sur le rutabaga : « Chou-navet, à chair jaunâtre, comestible mais surtout destiné au fourrage ».

Laurence Salomon, dans son dernier ouvrage « Racines » est plus généreuse en informations à son sujet et donne une recette à base de rutabaga.

Le rutabaga est donc un légume racine, croisement entre un navet et un chou frisé, d’où son nom de chou-navet. L’espèce que j’ai trouvée dans mon panier a une collerette violette, ce qui donne, selon Laurence Salomon, une chair plus poivrée et plus gouteuse que les variétés à collerette verte.

Il a une chair jaune et selon moi, une odeur très agréable, un peu sucrée ou miellée, comme dirait Estérelle. Son goût est assez doux.

Les légumes racines donnent souvent de très bons  résultats rôtis au four, comme les panais par exemple. Vous pouvez également en faire des gratins ou des veloutés mais j’avais envie de changer des soupes que je fais beaucoup en ce moment et je me méfie parfois des gratins à cause de tout ce que l’on ajoute aux légumes, leur faisant parfois perdre leur intérêt.

J’ai donc opté pour des frites de rutabaga. Le terme « frite » faisant plutôt référence à la forme, car, quoi que vous fassiez, vous n’obtiendrez pas le même croustillant qu’avec des pommes de terre vraiment frites dans l’huile (en écrivant ces lignes, je pense à David qui aurait nettement préféré de vraies frites). Le terme exact serait plutôt rutabaga rôti au four.

Gabrielle et moi avons adoré, David moins car il a trouvé le rutabaga un peu amer, ce qui ne l’a pas empêché de tout manger. Noé n’a fait aucun commentaire et a mangé la moitié de son assiette.

Frites de rutabaga (rutabaga rôti au four)

Ingrédients pour 4 personnes

1 demi-rutabaga (environ 750 g)
35 g de farine
2 pincées de piment de Cayenne
1 cuil. à café rase de curry doux en poudre
½ cuil. à café rase de sel
½ cuil. à café rase de curcuma moulu
2 cuil. à soupe d’huile d’olive

Préchauffez votre four à 180°C.
Retirez les extrémités du rutabaga puis coupez-le en deux.
Pelez-le puis lavez-le.
Coupez des tranches de 1,5 cm d’épaisseur.
Coupez ensuite des frites de 1,5 cm de large.
Mettez-les dans un grand bol, ajoutez l’huile d’olive et mélangez.
Dans un petit bol, mélangez la farine, le sel et les épices.
Versez sur les frites de rutabaga.
Posez une assiette sur le bol puis secouez bien afin de bien enrober chaque frite.
Si vous avez des sacs de congélation, c’est le moment de les utiliser.
Etalez les frites en une seule couche sur une plaque de cuisson antiadhésive  puis enfournez pour 20 minutes environ.
Testez la cuisson à l’aide de la pointe d’un couteau.
Servez immédiatement.

Note : mon petit doigt me dit que Silvia risque de publier une autre recette à base de rutabaga sur son blog aujourd’hui. Rendez-lui visite, sur ce lien.

Joy Of Cooking.

Joy Of Cooking

Depuis toujours, j’ai une manie. Si je suis chez quelqu’un que je connais suffisamment, et que ses livres de cuisine sont dans un endroit visible et accessible, je ne peux résister au plaisir de les feuilleter.

C’est amusant de voir que si nos cuisines ont souvent beaucoup d’ustensiles en commun, ce n’est pas du tout le cas pour les livres de cuisine.

La première fois que j’ai séjourné sur l’ile de Wight, nous avons dormi dans la maison de mes beaux parents, Anne et Alan, qui se trouve être l’ancienne maison de la tante d’Alan, décédée il y a quelques années.

Au bout de quelques jours, j’ai découvert dans la bibliothèque de l’entrée des vieux livres de cuisine. Le soir même, tranquillement installée dans un canapé, je les ai feuilletés. 

C’est très bizarre de feuilleter le livre de cuisine d’une personne qui n’est plus de ce monde, surtout quand vous ne l’avez pas ou très peu connue. Au détour d’une page, un papier rempli de notes s’échappe et tombe sur le sol. Certaines pages sont plus tachées que d’autres, vous permettant de découvrir ce que la propriétaire du livre aimait cuisiner.

Parmi les livres que j’ai feuilletés ce soir là figurait « Joy of Cooking », dont je n’avais pas entendu parler à cette époque. En regardant les recettes, j’étais intriguée car les mesures étaient américaines. Ma belle mère m’a alors confié que sa tante avait été mariée à un américain. Mystère résolu.

J’ai souvent repensé à ce livre dans les mois qui ont suivi, ayant pu le découvrir plus en détail au cours de mon séjour. Il se trouve qu’il s’agit de la bible de la cuisine américaine, un peu comme les livres de Ginette Mathiot pour les français. Il a été écrit par Irma S. Rombauer et auto édité pour la première fois en 1931 et le pire de tout est qu’il n’a pas vieilli du tout. Bien entendu, il ne ressemble pas aux livres de cuisine d’aujourd’hui mais il y a des tas de recettes qui sont encore totalement d’actualité. La version dont je parle date de 1973.  De nombreuses éditions existent, dont la dernière est sorti en 2006, afin de célébrer les 75 ans de la première édition.

Un an plus tard, alors qu’Anne me disait qu’elle manquait d’idées pour mon cadeau d’anniversaire, je lui ai dit que je serai ravie d’avoir ce livre de cuisine.

Et comme ma belle mère est un génie pour faire des cadeaux, mon vœu a été exaucépour mon anniversaire, il y a quelques semaines.

Le plus drôle dans cette histoire est que juste après avoir récupéré le « Joy of cooking » sur l’ile de Wight, ma belle mère a vu le film Julie and Julia dans lequel on parle beaucoup de ce livre. Julia Child a en effet rencontré l’auteur de Joy of Cooking à plusieurs reprises. En sortant du cinéma, elle m’a appelé toute excitée en me disant qu’elle comprenait mieux mon souhait, m’avouant par la même occasion l’avoir trouvé un peu étrange à l’origine.

Merci mille fois à Anne pour ce cadeau si précieux.

 

Bar de ligne, sauce à l’orange.

Bar de ligne, sauce à l’orange

Il fut un temps où j’étais organisée.

Lorsque nous invitions du monde à la maison, je planifiais les menus, puis les courses, et je préparais des choses à l’avance, histoire de ne pas être prise au dépourvu. A cette époque, vous n’aviez absolument aucune chance de me croiser dans un magasin le samedi, ou alors sur le marché, mais avant 9 heures.

Depuis plusieurs mois, je ne me reconnais plus.

Impossible de décider à l’avance ce que je vais cuisiner. J’ai plein d’idées dans la tête mais je n’arrive pas à me fixer sur l’une ou sur l’autre. Du coup, je ne prends aucune décision et je me retrouve à faire les courses au dernier moment et les heures qui précèdent le repas sont assez actives, sachant que je fais les courses et la totalité du repas le même jour, comme lorsque j’avais 25 ans !

Au début de ce phénomène nouveau, je me suis inquiétée en me disant que je devenais désorganisée, que je n’arrivais plus à fixer mon attention, que je n’aimais peut-être plus cuisiner pour plus de 4 personnes, etc. gardant mes bonnes vieilles habitudes de me poser pas mal de questions.

Enfin, samedi matin, j’ai eu une révélation.

Ce n’est pas que je deviens désorganisée, ou que je n’aime plus telle ou telle chose, c’est juste que j’aime de plus en plus décider du repas au dernier moment, selon mon humeur et mes envies du moment. Décider en début ou en milieu de semaine, ce que je vais servir le week-end me parait finalement manquer totalement de charme.

Si j’aimais le confort d’avant, je me mets à apprécier la spontanéité de cette nouvelle façon de faire.

Cela oblige à faire une cuisine plus simple mais ce n’est pas grave, je ne suis pas en train de concourir pour l’émission « Un diner presque parfait » (OUF !).

Samedi matin, 10 h 30 : à part les légumes, je n’avais pas grand-chose pour préparer le repas du midi pour 5 personnes. Pas grave. J’ai pris mon petit sac de courses et je suis allée chez mon poissonnier, celui qui fait parler toutes les femmes de Nogent Sur Marne (private joke).

Alors que j’attendais derrière une femme qui a acheté du poisson pour tous les repas du week-end, je ne savais toujours pas ce que j’allais prendre. Encore pire, j’ai commencé à regarder des choses qui ne convenaient pas du tout pour notre déjeuner, comme des coques, idéales à l’apéritif, des oursins, souvenir de bateau à Porquerolles, ou des coquilles Saint Jacques, les premières de la saison.

Du coup, mon tour arrivé, j’ai tout simplement dit au poissonnier « nous sommes 5 pour le déjeuner, que me conseillez vous ? »

Ce fut du bar de ligne (voir note) et non, je n’ai pas gagné au loto.

C’est simplement que le prix du poisson est, comme pour la bourse, très fluctuant et il y a des périodes où cela vaut le coup d’acheter du bar de ligne car il est moins cher que d’habitude et tellement bon. C’est pour ce genre de conseils que j’aime de plus en plus aller chez ce poissonnier.

De retour à la maison, j’ai détaillé des pommes de terre et des carottes en dés pour en faire un simili risotto, j’ai préparé mon poisson (5 minutes top chrono) puis une sauce simplissime, à base de crème fraiche et d’orange.

Un repas simple mais grandement apprécié.

Je ne me demande même plus ce que je vais faire pour nos amis qui viennent déjeuner dimanche prochain, on verra bien !

Note : le bar de ligne est un poisson que vous pouvez consommer dans le cadre de la pêche durable, pour plus d’infos, je vous invite à regarder ce document que vous pouvez imprimer et conserver dans votre sac (merci à Clotilde pour le conseil).

Chili végétarien (chili sin carne).

Chili végétarien (chili sin carne)

Le chili con carne, chez nous, est une histoire d‘hommes car c’est David et Noé qui le préparent. J’ai juste le droit de faire les courses de gouter à la fin pour éventuellement rectifier l’assaisonnement (vous savez, le truc que l’on écrit toujours dans les recettes).

Il y a quelques semaines, pour la venue de mes 2 sœurs, j’ai failli, non seulement le faire moi même mais en testant une nouvelle recette. Au dernier moment, je me suis retenue et j’ai demandé à David et à Noé si cela leur ferait plaisir d’en faire un, selon cette recette.

Je prends déjà trop de place dans cette cuisine, j’aurais détesté m’approprier leur recette, comme je l’ai déjà fait avec d’autres.

Cela ne m’a pas empêché, quelques jours plus tard d’en tester une version végétarienne, pour Gabrielle qui raffolait du chili con carne, lorsqu’elle mangeait encore de la viande.

En le goutant, je me suis dit qu’il manquait de cohésion et j’étais passablement agacée. David s’est gentiment moqué de moi en me disant que ce n’est pas de cohésion qu’il manquait, mais de viande, tout en ajoutant, avec un grand sourire, qu’il ne suffisait pas de retirer la viande d’un plat pour en faire une version végétarienne.

Un peu vexée tout de même, j’ai décidé de persévérer en mijotant mon chili végétarien beaucoup plus longtemps que la version avec viande et finalement, nous l’avons tous apprécié, mangeur de viande ou non.

OUF, mon honneur était sauf !

Chili végétarien (chili sin carne)

Ingrédients pour 6 personnes

1 oignon rouge
1 gousse d’ail
1 carotte
1 petite branche de céleri
1 poivron rouge
2 cuil. à soupe d’huile d’olive
1 cuil. à café de cumin moulu
¼ cuil. à café de piment de Cayenne
10 cl de vin rouge
1 boite de tomates pelées (400 g : poids net égoutté)
500 g de tomates bien mures
2 cuil. à soupe bombée de concentré de tomates
2 boites de haricots rouges (800 g : poids net égoutté)
Sel et poivre du moulin

Pelez puis émincez ail et oignon.
Pelez la carotte, retirez les extrémités puis coupez-la en très petits dés.
Coupez la branche de céleri en très petits dés.
Retirez l’extrémité du poivron, coupez-le en deux, retirez les parties  blanches puis coupez la chair en lanières.
Faites chauffer l’huile d’olive dans une cocotte.
Ajoutez l’oignon, l’ail, les dés de carotte et de céleri puis faites revenir l’ensemble sur feu doux pendant 8 minutes.
Ajoutez les lanières de poivron puis prolongez la cuisson de 2 minutes.
Pendant ces 10 minutes de cuisson, pelez les tomates fraiches, retirez leur pédoncule puis coupez-les en gros morceaux.
Retirez le pédoncule des tomates en boite puis coupez-les en gros morceaux.
Une fois la garniture aromatique bien fondante (oignon, ail, carotte et céleri), ajoutez les épices et mélangez.
Ajoutez le vin rouge, portez à ébullition et laissez cuire pendant 30 secondes.
Ajoutez les tomates fraiches, les tomates en boite avec leur jus, le concentré de tomates, les haricots rouges puis mélangez.
Portez à ébullition, baissez le feu à feu doux, puis laissez mijoter pendant au moins 1 h 30, en couvrant votre cocotte.
N’oubliez pas de mélanger de temps en temps.
Salez, poivrez puis rectifiez éventuellement l’assaisonnement (non, ce n’est pas juste un truc que l’on écrit, c’est super important).

Servez avec du riz, une guacamole, du pain, des tortillas, bref, tout ce qui vous fait plaisir.