180°C des recettes et des hommes : revue culinaire ou le magazine qui ne se jette pas, disponible en librairie
La plupart des gens de mon entourage ne comprennent pas pourquoi je suis sur Twitter. Je ne cherche pas à les convaincre. Si je le fais, je sais que j’y mettrai trop d’énergie et je finirais déçue si je n’arrive pas à les convaincre.
La prochaine fois, je pourrais leur expliquer que Twitter permet tout simplement de se tenir au courant de ce qui est nouveau/important dans son domaine de prédilection, la cuisine par exemple.
C’est en parcourant ma « Timeline » sur Twitter que j’ai entendu parler de 180°C et surtout des gens qui n’arrivaient pas à le trouver.
180°C est une revue culinaire et l’équipe de rédaction a choisi de le vendre en librairie et non pas dans les kiosques à journaux. J’ai trouvé le mien dans une librairie à Montpellier avec une pastille « coup de cœur ».
J’ai juste jeté un œil à l’intérieur et je l’ai vite refermé, en me disant que ça avait trop bien pour être juste feuilleté à la va vite.
C’est dans le TGV du retour que je l’ai enfin ouvert. Un vrai plaisir, cela faisait longtemps que je n’avais pas été aussi heureuse de découvrir une nouveauté.
180°C, c’est beau, c’est très bien écrit, c’est varié, on y apprend plein de choses et surtout, ce n’est pas parisien, ni élitiste, ni branché. Cela ressemble effectivement plus à ce genre de revue que l’on collectionne, comme les revues d’art.
J’ai adoré (et lu jusqu’au bout) les articles sur les pommes de terre de l’ile de Quéménés en Bretagne avec ce couple qui travaille la terre de manière solitaire ou celui sur le pain de la famille Winocour dans les Yvelines mais aussi cet article sur les dangers du « name dropping », le tempérage du chocolat, etc.
Toutes les recettes font envie et semblent tout à fait faisables, même celles qui sont plus techniques. Elles donnent des idées et de vraies techniques. Je peux vous dire que ce n’est pas toujours facile pour un ouvrage de provoquer cette envie, sachant que l’on est nourri d’idées tous les jours sur les réseaux sociaux. Bravo à Bernard pour sa recette des Pastéis de Nata qui semble si authentique.
180°C est depuis mon retour sur ma table de chevet. Il me reste deux articles à lire et je sais que j’achèterai le numéro 2 qui sort cet automne. Longue vie à 180°C.
Et vous, vous connaissez, vous avez aimé ?
180°C des recettes et des hommes, 19,90 euros, 192 pages, sans publicité
Page Facebook, ICI
Ils en parlent ICI, mais aussi là ou là.